La fracture numérique touche près de 13 millions de personnes en France selon un rapport de la mission Société numérique. Les personnes réfugiées en sont victimes et la Diair se mobilise pour y répondre.

Dès sa nomination, le préfet Alain Régnier rappelait dans ses nombreux déplacements la nécessité d’offrir une connexion internet aux résidents en CPH. L’objectif était surtout le maintien du lien social, indispensable dans un processus d’intégration. La crise du Covid-19 a mis en exergue les difficultés liées à la non maîtrise des outils numériques. Les besoins sont désormais liés non seulement au maintien du lien social mais aussi à l’accès à l’information, à la formation professionnelle, à la recherche d’emploi, aux cours de français en ligne…
Alain Régnier mobilise ainsi le Lab’r, le laboratoire d’innovation publique de la Diair, pour bâtir collectivement une stratégie de lutte contre la fracture numérique pour les personnes réfugiées.
Plusieurs Fabriques ont déjà eu lieu sur le sujet pour proposer, contre proposer et améliorer des axes d’action concrets. Les résultats de cette large co-construction sont attendus pour l’été.
La stratégie s’appuie sur 4 axes :
  • Des études sur les usages du numérique qui viendront enrichir la connaissance et orienter l’action ;
  • Favoriser l’accès au matériel ;
  • Améliorer la connectivité ;
  • Construire une offre de formation et de médiation adaptée.

Si ces travaux vous intéressent et que vous souhaitez apporter votre contribution, n’hésitez pas à nous écrire à contact-diair@interieur.gouv.fr

Aller au contenu principal