Les rendez-vous Culture de la Diair

« Comme l’homme a besoin d’oxygène pour survivre, il a besoin d’art et de poésie. » Ces mots d’Aimé Césaire rappellent l’importance et la place de la culture dans nos vies faisant d’elle un élément fondamental de nos quotidiens, nourrissant, ainsi, notre capacité de résilience face au monde. A travers ces différentes formes – qu’elles soient plastiques, sonores, visuelles, littéraires ou théâtrales – la culture nous environne et, à travers elle, se côtoient les expressions et les reflets – imaginés, rêvés ou fantasmés – d’un monde en proie aux mutations contemporaines.

De Victor Hugo à Hannah Arendt, du film Welcome de Philippe Lioret à l’Odyssée d’Hakim de Fabien Toulmé, jusqu’aux créations de ces dernières années, nombreux furent les artistes à se saisir de la réalité de l’exil et du quotidien des personnes réfugiées pour donner à voir, réfléchir, penser des quotidiens bouleversés.

Initiés au début de l’année 2022, les « Rendez-vous Culture » de la DIAIR proposaient à ses abonnés sur les réseaux sociaux de découvrir, chaque vendredi, des oeuvres culturelles évoquant la problématique de l’exil, par le biais de posts hebdomadaires.

Afin de renforcer ce travail de sélection et de l’ancrer en écho aux manifestations culturelles et à l’actualité, la DIAIR vous propose désormais de retrouver chaque mois les œuvres et évènements artistiques nous invitant à reconsidérer la réalité de l’exil dans nos imaginaires collectifs.

Octobre – La culture scientifique à l’honneur

A l’occasion de la Fête de la Science[1], la DIAIR inaugure son cycle des « Rendez-vous Culture » en mettant en exergue la culture scientifique, technique et industrielle (CSTI). Ainsi, le mois d’octobre sera l’occasion de donner à voir les personnalités qui ont marqué le monde de la recherche, revenir sur le parcours des scientifiques réfugiés ayant contribué de façon significative à l’histoire des sciences et des idées, tout en s’interrogeant sur une réalité contemporaine qui est celle des réfugiés climatiques, en écho au thème choisi pour la 31ème édition de la Fête de la Science[2].