L’IFRI sort son rapport « la participation des personnes exilées – des pistes pour repenser l’intégration » avec le soutien de la DIAIR. Sophie Bilong, auteur de cette étude, met en avant tout le potentiel d’une participation ouverte, assumée et co-construite des personnes exilées et, en particulier, des réfugiés.

La question de la participation des personnes réfugiées est au cœur des préoccupations de la DIAIR depuis sa création. Le Lab’R s’est saisi de la question aux côtés de son partenaire recherche qu’est l’IFRI depuis 2018 en l’inscrivant aux travaux de l’année 2019. Par ailleurs, la dernière Agora a intégré cette question en coopération étroite avec l’IFRI. La sortie de ce rapport conclut donc une relation fructueuse entre acteur public et centre de recherche sur ce sujet.

Sophie Bilong pointe la nécessité de voir se développer des instances de participation tant au sein des structures identifiées comme les CPH ou d’autres, ouvertes à des personnes réfugiées qui n’en feraient pas partie. Si aujourd’hui ces instances sont trop peu développées, des associations portées par des réfugiés ont vu le jour et donnent à voir une participation active et innovante. C’est la preuve que la participation est non seulement possible mais bénéfique.

La DIAIR souhaite maintenant poursuivre le travail avec l’IFRI pour expérimenter certaines propositions. Grâce aux outils et méthodes décrits dans ce rapport (« aller vers », changement de culture professionnelle, changement de rapport au temps, implication continue, etc.), la DIAIR souhaite faire de la participation des réfugiés un levier de politiques publiques adaptées au plus proche du terrain.

Nous vous invitons à découvrir en détails le rapport en cliquant ici. 

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